City Of Arsal, Syrian Border, Lebanon (2014)
( I in Arsal )
I would like for this first comment to speak to you of a very striking event in my photojounalist's life, the city of Arsal. Situated on the border is from the Lebanon, this city counts a big concentration of fight of ISIS, Nosra and other groups which use this place as back base to leave fighting in Syria. I received the protection of a person very respected in the region as well as a director of the local hospital which does an incredible work with his team! At night one grafting far off cars bring into conflict the jihadists, the armed forces of Bachar as well as these Lebanese allies.
By moment windows and metallic doors tremble during passages of missiles nearby, this whistling which cuts the wind, the roarings of dogs disrupted by the rumours, the tears of the frightened children. The next day it is especially at the hospital that the results were visible, some blood and still some blood and still cries of pain and this day after days, nights after nights. When I could not it anymore, I was going to rest in the monastery of El kaa (city a few kilometers away from Arsal where the Father offered me his hospitality. Then I turned to it, always the same visions of violence until the day when jihadists blew up on a Lebanese military center.
The ground in trembled and the noise was unbearable, fragments thrown(planned) in all directions then this tablecloth of dusts, it is this day there that the Lebanese army asked me to avoid(flee) the region for my safety(security) (needs to say that since the intensification of the conflict in the region no more conglomerate of western press ventured to go into this city). I was very lucky and thank my good star!!!
J’aimerais pour ce premier post vous parler d’un événement très marquant dans ma vie de reporter-photographe, la ville d’Arsal.
Situé à la frontière est du Liban, cette ville compte une grande concentration de combattent de ISIS, Nosra et autres groupes qui utilisent cette place comme base arrière pour partir se battre en Syrie.
J’ai reçu la protection d’une personne très respectée dans la région ainsi que du directeur de l’hôpital local qui fait un travail incroyable avec son équipe !
La nuit on entant au loin les tires opposent les djihadistes, les forces armées de Bachar ainsi que de ces alliés libanais.
Par moment les vitres et les portes métalliques tremblent lors de passages de missiles à proximité, ce sifflement qui coupe le vent, les hurlements des chiens perturbés par les bruits, les pleurs des enfants apeurés.
Le lendemain c’est surtout à l’hôpital que les résultats étaient visibles, du sang et encore du sang et encore des cris de douleurs et ce jour après jours, nuits après nuits.
Quand je n’en pouvais plus, j’allais me reposer dans le monastère d’El kaa (ville à quelques kilomètres d’Arsal où le Père m’a offert son hospitalité.
Puis j’y retournais, toujours les mêmes visions de violences jusqu’au jour où des djihadistes se sont fait sauter sur un centre militaire libanais.
Le sol à tremblé et le bruit fut insupportable, les débris projetés dans tous les sens puis cette nappe de poussières, c’est ce jour là que l’armée libanaise m’a demandé de fuir la région pour ma sécurité (faut dire que depuis l’intensification du conflit dans la région plus aucun groupe de presse occidentale ne se risquaient à rentrer dans cette ville).
J’ai eu beaucoup de chance et remercie ma bonne étoile !!!